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Le secret de l'anatothérapie

🌿 Pourquoi l’anatothérapie donne-t-elle des résultats aussi marquants, là où d’autres approches atteignent parfois un plateau ?

Même si mes clients parlent parfois de magie, la réponse est bien plus concrète.
Elle repose sur une compréhension fine du corps… et sur une méthode qui va directement au coeur du problème :  la contracture musculaire.

L’anatothérapie combine deux approches reconnues :
👐 Une précision manuelle pour repérer et libérer les fibres contractées.
🎯 Une stimulation vibratoire douce et ciblée pour activer les mécanismes naturels de relâchement musculaire.

En agissant là où les tensions s’ancrent, elle redonne au corps sa souplesse, son efficacité et son intelligence naturelle.

📖 Dans cette page, vous découvrirez :

  • Ce qui distingue vraiment l’anatothérapie

  • Les mécanismes corporels qui expliquent ses effets

  • Une étude de cas concrète

  • Et des ressources pour prolonger les bienfaits entre les séances

Prêt·e à comprendre ce que votre corps n’a peut-être jamais expérimenté jusqu’ici ?

Muscle, fascia et tensions :
comprendre l’unité fonctionnelle du corps

Avant d’expliquer les effets de l’anatothérapie, il est essentiel de comprendre les structures qu’elle vise à rééquilibrer : le muscle et le fascia. Ensemble, ils forment ce qu’on appelle une unité fonctionnelle : deux tissus distincts, mais indissociables, qui agissent comme un système intégré. Le bon fonctionnement de l’un dépend de l’état de l’autre.

🔍 Muscle vs fascia : deux rôles complémentaires

Un muscle ne sert pas uniquement à faire bouger le corps.
Il joue aussi un rôle clé dans la posture, la stabilité, et l’équilibre global du système musculo-squelettique.

Et il n’agit jamais seul : chaque muscle est enveloppé par une fine membrane appelée fascia, essentielle à son bon fonctionnement.

Le muscle se contracte, soutient le mouvement et maintient la posture.


Le fascia, lui, transmet les forces, protège les structures internes, amortit les chocs, et facilite la circulation des fluides.
Il peut aussi se tendre ou se contracter indépendamment du muscle, ce qui influence directement la souplesse et la performance du corps.

Pour imager : si le muscle est une saucisse, les fibres musculaires en sont la chair, et le fascia, l’enveloppe qui maintient la forme et protège l’ensemble.

Lorsqu’un stress s’accumule (physique, émotionnel, chimique, etc.), Cette unité fonctionnelle peut se rigidifier. Le tissu perd de sa souplesse, devient moins performant, et laisse place à ce que l’on appelle une tension persistante.

D’où viennent les tensions musculaires ?

Les tensions ne sont jamais le fruit du hasard.

Elles sont souvent le résultat d’une surcharge que le corps n’arrive plus à absorber.

 

En anatothérapie, on reconnaît 7 sources principales de stress pouvant affecter l’état des tissus musculaires et fasciaux :

  1. Physique : blessures, sur-utilisation, micro traumatismes répétés

  2. Psychologique : deuil, surcharge mentale, stress chronique

  3. Alimentaire : intolérances, allergies, carences

  4. Infectieux : virus, bactéries, parasites

  5. Chimique : médication, produits ménagers ou cosmétiques, exposition à des toxines

  6. Immunitaire : maladies auto-immunes, vaccination, sensibilités particulières

  7. Environnemental : bruit fort ou constant, lumière artificielle, ondes, pollution

Ces facteurs agissent comme des micro-agressions.

Le corps s’adapte… jusqu’à ce qu’il atteigne sa limite.

 

Quand le mécanisme d'adaptation atteint sa limite, le relâchement naturel du muscle ne se fait plus complètement.

Une tension musculaire persistante peut alors s’installer — souvent discrète au départ, mais entraînant un effet domino dans tout le corps.

Les différents visages de la tension musculaire

Comprendre les formes que peut prendre une tension persistante

Quand une tension musculaire s’installe, elle peut se manifester de différentes façons.

Selon son ancienneté, sa profondeur, sa cause et votre état de santé global, une tension peut se manifester de façons variées — allant d’un tonus excessif discret à une rigidité bien installée.

Ces formes ne s’enchaînent pas nécessairement en étapes : elles reflètent surtout le degré d’adaptation ou de surcharge des tissus.

⚪ Tensions diffuses

Souvent sous-estimées, ces tensions ne provoquent pas toujours de douleur, mais gênent subtilement la mobilité, la récupération ou la concentration.
Le muscle semble actif, mais ne parvient pas à se relâcher complètement — comme s’il restait partiellement engagé, même au repos.

🔴 Contractures bien installées

À ce stade, le muscle devient dense, plus raide, parfois sensible au toucher.
Ces contractures ne disparaissent ni avec le repos ni avec un simple étirement.
Elles altèrent la posture, limitent la performance… et peuvent perturber les fonctions nerveuses ou circulatoires à proximité.

✨ En anatothérapie, ce niveau de tension est souvent perçu comme une densité inhabituelle, semblable à du cartilage — à la fois sous les doigts du thérapeute et par le client lui-même, grâce aux vibrations transmises pendant la séance.

⚫ Rigidification avancée

Parfois, le muscle devient si dense qu’il semble ossifié au toucher.


Ce niveau de rigidité surprend souvent les clients, qui croient sentir un os.
Ils sont encore plus étonnés lorsqu’une séance permet au muscle de retrouver sa souplesse, car ils prennent conscience de l’écart… avec ce qui était devenu leur normalité.

Bien que seule l’imagerie médicale permette de confirmer une calcification des tissus mous, ce phénomène est documenté dans la littérature scientifique — notamment en lien avec l’inflammation chronique, les surcharges mécaniques ou l’immobilité prolongée.
👉 Ici, l’image de la calcification est utilisée pour illustrer la perception clinique du phénomène, sans émettre de diagnostic.

Tensions diffuses
Contractures bien installées
Rigidification avancée

Le rôle du fascia : le grand chef d’orchestre silencieux

Après avoir exploré les différentes formes que peut prendre une tension musculaire, penchons-nous sur un acteur clé souvent méconnu : le fascia.

Le fascia est une fine membrane très puissante, qui relie entre eux les muscles, les os, les nerfs et les organes. Il forme ainsi un immense réseau de gaines assurant structure, cohésion et communication dans tout le corps.

🔗 Pourquoi c’est important ?
Parce qu’un fascia tendu ou « collé » perturbe la circulation locale, nuit au relâchement du muscle, et peut transmettre la tension à distance.

🔬 Des études en biomécanique ont démontré que le fascia forme un réseau interconnecté. Une restriction dans une zone peut tirer sur l’ensemble du réseau, comme un câble trop tendu qui déforme toute la structure.

🧩 Les zones où vous ressentez une gêne ne sont donc pas toujours la source réelle du problème.
Il arrive qu’un muscle se contracte à cause d’une tension dans un fascia éloigné.

En anatothérapie, nous explorons ce réseau.
Pas seulement le muscle douloureux, mais les liens cachés qui maintiennent la tension.

Ce travail global est essentiel pour permettre au muscle de se relâcher durablement, et éviter que la tension ne se déplace ou ne revienne sous une autre forme.

Les zones : quand les muscles reflètent l’état des organes

Lorsqu’un organe est en difficulté, les nerfs qui l’innervent peuvent transmettre cette information à certains muscles… qui réagissent souvent par une contraction silencieuse.

👉 En anatothérapie, on utilise ce lien entre les systèmes pour repérer des groupes musculaires stratégiques. Ces régions ciblées ne sont pas choisies au hasard : elles correspondent à des chaînes neuro-musculaires bien connues, en lien avec les organes ou les systèmes internes concernés.

🧠 Comment ça fonctionne ?

Dès la vie fœtale, notre développement est guidé par le système nerveux. Les nerfs émergent de la colonne vertébrale pour innerver à la fois les muscles… et les organes.

Lorsqu’un organe est sur-sollicité ou en déséquilibre, le groupe de muscles traversé par ces mêmes nerfs peut graduellement devenir tendu — sans que vous en ayez forcément conscience.

🧬 Ce lien neuro-musculaire est bien documenté en embryologie et neurophysiologie. Il explique pourquoi certaines zones musculaires réagissent à distance d’un organe déséquilibré.
➡️ En anatothérapie, ce savoir est appliqué pour identifier les zones prioritaires à libérer, en se basant à la fois sur le bilan de santé et sur l’expérience clinique.
 

💡 Et les émotions dans tout ça ?

Au-delà des liens entre organes et muscles, l’anatothérapie prend aussi en compte un facteur souvent sous-estimé : l’impact des émotions.

De plus en plus d’études confirment que nos états émotionnels influencent directement les fonctions physiologiques — y compris la tension musculaire.
C’est notamment le cas du système nerveux autonome, qui régule des fonctions comme la respiration, la digestion, le rythme cardiaque… et la contraction des muscles.

🧬 Des recherches en neurosciences ont montré que le cerveau émotionnel peut modifier le tonus musculaire et perturber le relâchement naturel des tissus.
Les travaux de Stephen Porges (théorie polyvagale), de Thayer & Lane (modèle d’intégration neuroviscérale) ou encore de Critchley & Harrison (cerveau et organes) montrent que les émotions ne sont pas que psychologiques — elles laissent une empreinte réelle dans le corps.

🌿 En clinique, on remarque souvent que certaines zones de contractures musculaires sont associées à des charges émotionnelles récurrentes.
Par exemple, la zone de l’omoplate droite — liée au cœur en anatothérapie — est souvent tendue chez les personnes ayant vécu des épisodes de peine, de frustration ou d’émotions intenses, agréables ou désagréables.

✨ Cela ne signifie pas que “tout est dans la tête” — mais bien que le corps, pour se protéger, peut activer des mécanismes réflexes… laissant une trace bien réelle dans les tissus.

diagramme_anatotherapie_zones_contractures_rein_correct.png

Schéma illustrant les zones de contractures musculaires associées aux organes, selon l’approche d'anatothérapie.

À gauche

Zones

À droite

Poumons

Omoplates

Coeur

Estomac

Foie

Cage thoracique

Système urinaire

Bas du dos

Pancréas

Intestins

Système reproducteur

Fessiers

Système nerveux central :

  • Tête

  • Nuque

  • Zone entre les omoplates

Certaines de ces zones résonnent avec votre expérience?

🔍 Comment ces zones sont-elles identifiées en pratique ?

C’est lors de la première séance qu’un bilan de santé approfondi permet de faire le lien entre votre histoire, vos symptômes et les zones musculaires à explorer en priorité.
Grâce à sa connaissance du corps et des mécanismes de compensation, l’anatothérapeute identifie les tensions-clés à libérer, même si elles sont parfois éloignées de la zone douloureuse.

➡️ Voyons concrètement comment se déroule une séance, et à quoi vous pouvez vous attendre.

La première séance : à quoi vous attendre

Chaque séance est structurée pour vous offrir une expérience précise, personnalisée… et durable.

📝 1. Un bilan de santé approfondi

Dès la première rencontre, l’anatothérapeute prend le temps d’écouter votre parcours : symptômes, blessures passées, niveau d’activité physique, habitudes de vie, environnement de travail, contexte émotionnel.

Ce bilan rigoureux permet de repérer les zones prioritaires à explorer — même si elles sont éloignées de la douleur perçue.

🎯 Exemple : une douleur au genou peut être liée à une tension ancienne dans la hanche ou le dos, compensée depuis des années.

🔎 2. L’évaluation des tensions

Grâce à une palpation fine et spécifique ainsi qu’à l’utilisation de la vibration, l’anatothérapeute repère les contractures myofasciales profondes, souvent invisibles à l’œil nu.

Les zones ciblées sont choisies en fonction des liens entre muscles, nerfs, fascias et organes internes identifiés lors du bilan initial.

👐 3. L’anatothérapie

Une fois les contractures identifiées, le travail peut commencer.

L’objectif : assouplir les fibres contractées, optimiser la circulation locale et permettre au tissu de retrouver sa souplesse.

Ce travail est souvent ressenti comme profond mais étonnamment doux, car l’anatothérapeute respecte en tout temps le seuil de tolérance du corps.

➡️ Lorsqu’il ressent de la douleur, le corps se contracte — ce qui va à l’encontre du but recherché : le relâchement.

➡️ Et après la première séance ?
Un plan de suivi vous est systématiquement proposé, basé sur vos objectifs, votre mode de vie et les observations cliniques.

💬 Chaque séance est adaptée à votre réalité.

Et après ? Consolider, entretenir… performer

L’anatothérapie agit rapidement… mais pas magique. Il faut garder en tête que certaines contractures sont anciennes, profondes, ou liées à des causes encore présentes dans le quotidien (stress, surcharge, surentraînement, etc.).

Deux options s’offrent à vous : à la carte ou en forfait.
Aucune obligation : vous restez libre de choisir ce qui respecte votre temps, votre budget, et votre rythme de transformation.

🎯 À la carte

Idéal si :

  • Vous avez besoin de moins de 5 heures de suivi.

  • Le problème initial a été réglé, mais vous souhaitez revenir ponctuellement pour entretenir vos résultats, selon les fluctuations de votre réalité (compétition, surcharge, pic de stress…).

🧠 Un cadre ou un entrepreneur très sollicité mentalement peut y recourir pour prévenir l’accumulation des tensions et préserver sa lucidité.
👉 [Voir le témoignage de Nick – « Quand la douleur recule, le leadership s’impose »]

💪 Une athlète soumise à une charge physique élevée peut y recourir pour libérer les tensions avant les compétitions, accélérer la récupération… et préserver l’efficacité de son corps au fil des saisons.
👉 [Voir le témoignage de Julie – « Quand le corps encaisse… mais ne récupère plus »]

📦 Forfaits de suivi, aussi appelés cartes de visite

Les forfaits sont conçus pour répondre aux besoins fréquemment observés en clinique.

  • 5 heures : contractures récentes ou tensions persistantes bien localisées, avec le muscle encore souple.

  • 10 heures : douleurs chroniques présentes depuis 5 à 7 ans environ, avec contractures denses et enchevêtrées.

  • 20 heures : rigidité avancée ou début de calcification des tissus mous, généralement en lien avec des douleurs installées depuis plus de 10 ans.

Chaque suivi est ajusté à votre évolution.

Vous pouvez étaler vos séances selon vos contraintes et vos objectifs.

Le suivi : Et après? Consolider, entretenir... performer

🎯 Prêt·e à entamer un suivi qui respecte votre rythme et vos objectifs ?

🔍 Et concrètement, qu’est-ce que ça donne ?

 

Les effets de l’anatothérapie sont réels, mesurables… et profondément humains.
Chaque corps raconte une histoire. Et parfois, il faut peu de choses pour réécrire un chapitre entier.

Voici un cas clinique qui illustre bien comment les concepts abordés plus haut prennent vie dans une trajectoire de soin.

Étude de cas

Annie Toutiras : De la douleur chronique à la performance optimisée

Annie Toutiras est une athlète aguerrie et une source d’inspiration. C’est elle qui m’a surnommée « la magicienne ».
Son histoire est l’une de mes préférées en anatothérapie.

🎯 Le défi : une tendinite persistante

Lorsque Annie est venue me voir pour la première fois, elle souffrait d’une tendinite chronique à l’épaule droite depuis plus de 20 ans.
La douleur avait commencé lors de son travail en boucherie, à force de gestes répétés avec une trancheuse à viande professionnelle.

Son objectif : participer à son tout premier demi-Ironman.
Mais la douleur à l’épaule nuisait particulièrement à la phase de natation du triathlon.

🔎 Quand le stress s’imprime dans les muscles

Certaines zones du corps sont connues pour accumuler des tensions en réponse à un stress prolongé.


Chez Annie, deux régions contractées ont attiré l’attention dès la première séance :

🔹 Omoplate droite : une zone souvent impliquée en cas de mouvements répétitifs et de stress prolongé, physique ou émotionnel
🔹 Fessier droit (psoas) : une zone fréquemment tendue en cas de stress chronique, de posture assise prolongée ou de déséquilibres digestifs

Ce sont des zones sensibles, où les effets du stress — qu’il soit physique, mental ou émotionnel — laissent facilement une empreinte durable.

🔎 Les séances d’anatothérapie et leurs résultats

Première séance – Mars 2023
✔ 15 min sur le psoas gauche
✔ 45 min sur l’omoplate droite
→ Diminution significative de la douleur à l’omoplate
→ Disparition de la douleur au psoas

Deuxième séance – Avril 2023
✔ 15 min sur le psoas gauche
✔ 45 min sur l’omoplate droite
→ 1/3 du blocage éliminé
→ Disparition complète de la douleur

📊 Quelques jours plus tard, Annie m’a envoyé les captures d’écran de son application d’entraînement.

Les données viennent appuyer les résultats ressentis.

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Avant anatothérapie : temps moyen de 2 min 16 sec / 100 m

Après anatothérapie : temps moyen de 2 min / 100 m

🚀 Résultat : un gain de 5 minutes sur 1900 m, sans changement de volume d’entraînement, ni de technique ou d’alimentation.

📎 Données issues d’un suivi réel, partagées volontairement par la cliente pour illustrer les effets observés.

💥 Troisième séance – Retour temporaire de la douleur

Quelques semaines plus tard, un événement émotionnel difficile a ravivé la douleur à l’omoplate.
Après la 3ᵉ séance, la douleur a disparu définitivement.

🏁 Jour J : une performance sans douleur et une récupération exceptionnelle

Le jour de sa compétition, Annie a performé sans douleur… et a récupéré à une vitesse remarquable.


Aujourd’hui, elle consulte en anatothérapie avant ses compétitions (4 à 5 fois par an) pour :

✅ Éliminer les tensions accumulées
✅ Prévenir les blessures
✅ Optimiser ses performances et sa récupération

Même son physiothérapeute a noté qu’elle consultait beaucoup moins souvent pour des blessures.

💬 Et aujourd’hui ?

✨ « Ma douleur à l’épaule n’est jamais revenue… mais il m’arrive de ressentir une légère sensibilité à cet endroit, surtout en période de stress. » — Annie Toutiras

Certaines zones du corps peuvent conserver une mémoire physique du stress passé.
Même lorsque la blessure est résolue, il arrive que la tension refasse surface lors de périodes intenses — sans cause apparente.

Aujourd’hui, ces sensations sont passagères.
Annie peut soulever ses sacs d’épicerie, prendre ses enfants dans ses bras… et profiter de son quotidien sans douleur persistante.

🎉 Un soulagement tangible, dans la vraie vie.

✨ Vous méritez un accompagnement à la hauteur de vos efforts.
Choisissez l’option qui soutient le mieux vos objectifs.

Ressources

🔄 Entre les séances : des ressources pour maximiser les bienfaits

 

Certains exercices simples peuvent vous aider à apaiser votre système nerveux, préparer votre corps avant une séance, ou intégrer plus efficacement le travail fait en profondeur.

Ils sont accessibles à différents niveaux de condition physique.


Certains visent à détendre les muscles ciblés en séance, d’autres à activer les chaînes musculaires associées ou à faciliter le relâchement de tensions persistantes.

📌 Certaines vidéos sont en français, d’autres en anglais. Vous pouvez activer les sous-titres YouTube au besoin.

⚠️ Important
Vous êtes responsable de votre santé et de votre sécurité.
Avant d'essayer un exercice :

  • Vérifiez qu’il est adapté à votre condition physique.

  • Si vous êtes suivi par un professionnel, validez que l’exercice complète bien votre plan de soins.

  • L’objectif est de soutenir le travail en séance, jamais de forcer des résultats.

 

🔎 À noter : Ces ressources sont facultatives.
Elles ne remplacent pas les séances, mais peuvent contribuer à soutenir votre progression entre deux rendez-vous.

🔎 Retrouvez rapidement l'exercice qu'il vous faut

  1. Activation de la branche ventrale du nerf vague

  2. Respiration guidée – Cohérence cardiaque (5-7)​

  3. Activation du corps en douceur - Pilates

  4. Mobilisation des épaules et des bras

  5. Activation de la hanche : mobiliser et stabiliser

Activation de la branche ventrale du nerf vague

Durée de l'exercice : De quelques secondes à quelques minutes.

Pourquoi ?

Pour calmer le système nerveux autonome et relâcher les tensions musculaires profondes à la base du crâne et de la nuque.

Plus le nerf est activé, plus les réflexes naturels de régulation (déglutition, soupir, bâillement) se déclenchent rapidement.

Quand l'utiliser ?

À pratiquer plusieurs fois par jour si nécessaire, notamment :

  • En période de stress ou de surcharge mentale

  • Pendant ou après un travail prolongé en position assise ou debout

  • En complément d’un soin ou d’un exercice de mobilité cervicale

​▶️ Lien vers la ressource :

🔗 Activer la branche ventrale du nerf vague

Respiration guidée – Cohérence cardiaque (5-7)

Durée de l'exercice : 5 minutes.

Pourquoi ?

La cohérence cardiaque est une technique de respiration lente, rythmée et consciente.
Elle aide à calmer le système nerveux autonome et à créer un état de stabilité intérieure.

Des recherches valident ses bienfaits sur :

  • Le stress et l’anxiété

  • La régulation émotionnelle

  • La variabilité de la fréquence cardiaque (un indicateur clé de résilience)

  • Le sommeil et la concentration

Elle peut aussi amplifier les effets d’une séance d’anatothérapie, en favorisant un relâchement musculaire plus profond.

Quand ?

🕐 3 à 5 minutes suffisent

  • Avant une séance, pour préparer le terrain

  • Après une séance, pour prolonger les effets

  • En période de stress ou de surcharge mentale

  • Avant une réunion importante

  • Le soir, pour faciliter l’endormissement

▶️ Lien vers la ressource :

🔗 Respiration guidée - Cohérence cardiaque

Activation nerf vague
Respiration guidée

Activation du corps en douceur - Pilates

Durée de l'exercice : 10 minutes

Pourquoi ?
Cet exercice aide à intégrer le travail ciblé accompli durant une séance en mobilisant les chaînes myofasciales concernées. Il favorise la circulation des tensions profondes, améliore la perception corporelle et soutient les gains en endurance, en force et en souplesse.

Quand l'utiliser ?

  • En cas de raideur au réveil

  • Avant une séance d’échauffement

  • Après un effort ou une séance

  • Pendant une pause au travail

  • Après une position assise ou debout prolongée

  • Avant d’aller dormir, dans une routine du soir

​▶️ Lien vers la ressource :
🔗 Activation du corps en douceur - Pilates

Mobilisation des épaules et des bras

Durée de l'exercice : 10 minutes

Pourquoi ?
Cet exercice est utile pour activer la musculature profonde des bras, des épaules et des omoplates — des zones souvent tendues chez les personnes sédentaires, exposées au stress, ou effectuant des mouvements répétés ou soumis à des impacts fréquents.

Il aide à :

  • Préparer la séance en mobilisant la musculature profonde et en assouplissant les fibres

  • Intégrer le travail musculaire après une séance (soutient la circulation et la récupération)

  • Favoriser le mouvement des tensions profondes, en les rendant plus accessibles

Quand l'utiliser ?

  • Personnes sédentaires : comme renforcement doux ou inclusion dans une routine d’entretien postural

  • Personnes actives : à intégrer dans l’échauffement, notamment en cas de tensions dans les bras, la nuque ou entre les omoplates

  • Avant ou après une séance d’anatothérapie, si cette zone a été ciblée

⚠️ Assurez-vous que l’exercice est adapté à votre condition. Consultez un professionnel au besoin.

▶️ Lien vers la ressource :
🔗 Mobilisation des épaules et des bras

Activation de la hanche : mobiliser et stabiliser

Durée de l'exercice : 7 exercices en 9 minutes

Pourquoi ?

Cet exercice simple vise à mobiliser les muscles de la hanche sans déclencher de douleur.


Il permet :

  • De mobiliser les articulations

  • D’améliorer la stabilité locale

  • De préparer la région avant une séance

  • D’intégrer le travail fait en anatothérapie

Il est également utile pour suivre l’évolution de votre force, mobilité et endurance entre les séances.

 À adapter selon votre niveau

  • Niveau débutant : sans élastique si besoin pour faciliter le mouvement

  • Niveau avancé : utilisez l’élastique avec contrôle et fluidité

👉 L’objectif n’est pas de « s’entraîner », mais d’activer la zone — sans douleur.

⚠️ Si l’exercice déclenche une douleur ou une gêne persistante, consultez un·e professionnel·le de la réadaptation.
Cette ressource est proposée à titre d’exemple seulement et ne remplace pas un suivi personnalisé en santé.

Quand l'utiliser ?

  • Avant une séance pour activer la région

  • Après une séance pour consolider les gains

  • Comme repère pour mesurer vos progrès (mobilité, endurance, contrôle)

  • Si vous ressentez de la raideur ou une perte de mobilité au niveau de la hanche

▶️ Lien vers la ressource :

🔗 Activation de la hanche : mobilité et stabilité

🎯 Besoin d’un premier rendez-vous ou d’un suivi ponctuel pour soutenir votre progression ?
👉 Choisissez l’option qui soutient le mieux vos objectifs.

Activation du corps - Pilates
Mobilisation des épaules et des bras
Activation de la hanche : mobiliser et stabiliser

Références

L’anatothérapie repose des milliers d'heures d'observation clinique fine, enrichie par les connaissances issues de disciplines complémentaires validées scientifiquement.


Voici une sélection de références sur lesquelles notre pratique et le contenu de ce site sont basés, organisées par thématique :

Muscle, fascia et unité fonctionnelle

  • Schleip R., Findley T.W., Chaitow L., Huijing P.A. Fascia: The Tensional Network of the Human Body. Elsevier, 2012.

  • Stecco C., Functional Atlas of the Human Fascial System. Elsevier, 2014.

 

Tensions, contractures et densification tissulaire

  • Willard F.H. et al. "Fascial Plasticity – A New Neurobiological Explanation." Journal of Bodywork and Movement Therapies, 2008.

  • Langevin H.M. et al. "Tissue displacements during acupuncture using ultrasound elastography." Journal of Alternative and Complementary Medicine, 2004.

 

Thérapie manuelle et relâchement myofascial

  • Ajimsha M.S. et al. "Effectiveness of myofascial release: Systematic review of randomized controlled trials." Journal of Bodywork and Movement Therapies, 2015.

  • Bialosky J.E. et al. "Spinal Manipulative Therapy–Induced Hypoalgesia: A Systematic Review." The Journal of Pain, 2009.

 

Thérapie vibratoire localisée

  • Cochrane D.J. "Vibration exercise: The potential benefits." International Journal of Sports Medicine, 2011.

  • Rittweger J. "Vibration as an exercise modality: how it may work, and what its potential might be." European Journal of Applied Physiology, 2010.

 

Système nerveux autonome et somatisation

  • Porges S.W. The Polyvagal Theory: Neurophysiological Foundations of Emotions, Attachment, Communication, and Self-regulation. Norton, 2011.

  • Tracey K.J. "Reflex control of immunity." Nature Reviews Immunology, 2009.

 

Lien entre émotions et tensions corporelles

  • Nummenmaa L. et al. "Bodily maps of emotions." PNAS, 2014.

  • Van der Kolk B. The Body Keeps the Score: Brain, Mind, and Body in the Healing of Trauma. Penguin, 2014.

📖 Comprendre, c’est déjà un pas vers le mieux-être.
Mais pour relâcher les tensions en profondeur, rien ne remplace l’expérience vécue.

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